I'm not the worst one. Just not the best one. - Aurélien T. Marshall. | En cours !

A quoi ressemble Aurélien ? Ce que reflète le miroir ? C'est à se demander si ce monde n'est pas gouverné uniquement par l'apparence... Ha, il l'est ? Au temps pour moi. Bien, si l'apparence gouverne ce monde, Aurélien devrait avoir une haute place. Non, ce n'est pas là un quelconque côté vaniteux qui remonte à la surface, mais bien une réalité. Avez-vous déjà vu quelqu'un ne pas rester, même rien qu'un instant, accrocher à notre jeune homme, à l'image de son corps entier ? Jusqu'à preuve du contraire, Aurélien a toujours inspirer l'envie. En même temps, qui pourrait bien ne pas le dévisager, comme pour voir son fond, par simple plaisir de se trouver face à lui... Aurélien, Aurélien... Quel étonnant jeune homme, cet Aurélien... Bien, commençons donc la description de son physique. Par quoi voulez-vous commencer ? Ses cheveux ? Bien, démarrons donc par cela. Avez-vous déjà remarquer que les cheveux de Aurélien sont d'une couleur attirante et profonde, bien que tout aussi légère ? Devrions-nous dire que cette couleur est dorée, rosée peut-être ? Ses mèches changeraient presque de couleur en fonction de leur longueur. La plupart du temps, les gens disent simplement que ses cheveux sont blonds, ou alors d'un blonds très particulier. Ils partent un peu en tout sens, mais redescendent toujours pour encadrer son visage. Ceux-ci sont soyeux au toucher, délicats et portent la délicate odeur des cerises après la rosée du matin. Une odeur intense et appréciable, infinie. Les jeunes filles aiment parfois passer leurs doigts agiles dans ses cheveux sans le moindre nœud une fois brossés. Cependant, le jeune homme ne laisse faire que les demoiselles qu'il apprécie le plus. { En cours. }

Aurélien possède un caractère comme un bal dansant, une soirée de fête et de retrouvailles, de charmes et de secrets. Vacillante sous les yeux imaginaires de l'astre du jour, la moralité de Aurélien qui reste, sans nul doute, une moralité qui sort de l'ordinaire, grand bien lui fasse que celle-ci n'existe pas réellement. Ce bal, cette soirée endiablée au rythme soutenue, se lance à chaque instant au plus profond de son être parfois troublé et hésitant. Dévoilons donc, aux yeux de chacun, ce que Aurélien est et restera probablement jusqu'à la fin d'une éternité longue et ennuyeuse. Dans son coin, loin des lumières aveuglantes, Madame la Timidité se sent oubliée. Elle ne danse pas, ne s'ouvre pas aux autres, semblant avoir littéralement disparue, malgré le fait que quelques regards intéressés se lancent à son assaut. Madame la Fourberie, elle, veille tranquillement à ce que personne ne s'approche trop de Madame la Timidité, nommée peu avant, peut-être par peur que celle-ci ne revienne au centre de la fête et ne gâche le tout d'un rougissement enfantin et naïf. Sirotant tranquillement son verre, presque aussi loin des regards que Madame la Timidité, Madame la Franchise reste à regarder d'un air pensif les gens qui entrent et sortent de ce bal mouvementé par quelques sentiments que ce soit. Personne ne semble l'avoir vu, tout du moins, personne ne l'intéressant... Elle pose son verre sur une table, réajuste correctement sa robe et sort, discrètement, par la porte de derrière, voilée par un rideau. Monsieur le Sarcasme se lance alors à l'assaut du centre de la pièce et emmènent avec lui Monsieur l'Ennui qui se demande pourquoi son être est toujours autant employer... Monsieur le Charme, lui, se lance à un autre assaut, celui-ci des belles demoiselles à venir sans bras auquel s'accrocher. Bien entouré, il cherche probablement à se faire voir autant que ses deux amis, le Sarcasme et l'Ennui. Eux trois sont le centre du bal, faisant tournoyer, sous leur joug imperceptible, une fête à leurs couleurs. En remarquant tant d'agitation, Madame la Timidité quitte la pièce centrale et rejoint un balcon pour se joindre à Madame à Solitude et parler du temps, des modes et des dernières occupations. Ces deux dames, toujours en bonne entente, se lieraient-elles peu à peu d'amitié ? Madame l'Amitié les regarde d'ailleurs, prise d'un sentiment tranquille et confiant, que Madame la Confiance donne avec si peu de retenue à toutes les autres personnes présentes, malgré qu'elle en oublie peut-être la personne en ayant le plus besoin, soit Madame la Timidité. Monsieur le Rire s'invite lui-même à cette festivité, cependant il reste dans son coin, loin des autres, et semble vouloir se faire le plus discret possible, alors Madame la Discrétion se joint à lui, malgré le fait qu'elle aurait pu, avec Monsieur l'Ennui et Monsieur le Sarcasme, jouer un rôle des plus voyants. Elle tourne le regard, inspectant la salle de bal à la recherche de Madame la Fidélité qui ne semble pas être présente. Peut être était-elle encore malade, elle qui ne venait que si rarement dire bonjour aux autres ? Avec un soupir, Madame la Discrétion part se chercher à boire, d'un pas élégant et gracile comme à son habitude, et laisse Monsieur le Rire broyer du noir dans son coin, comme s'il n'était pas capable de se faire rire lui-même. Monsieur le Taquin, quant à lui, se joint à Monsieur le Charme et, à eux deux, ils attirent plus de regards que quiconque. Même les habitués semblent encore surpris de leur popularité auprès de la gente féminine, si sensible et attirée par leurs diverses paroles sans franchise, trouvées sur l'instant, et qui baladent des allures de romance de prince et princesse. Monsieur le Mensonge, depuis sa place à sa table, semble soucieux et inquiet. Lui aussi, comme Madame la Discrétion, remarque que madame la fidélité n'est pas là, qu'elle manque à cet appel minutieux qui s'exécute dans le silence, comme un secret. Cependant, le départ l'ayant le plus attristé fut celui de Madame la Franchise, qu'il n'avait pas eu le temps de trouver parmi tout ce beau monde. Généralement, les gens pensent que ces deux-là ne s'entendent pas, alors que, bien au contraire, ils ne peuvent pas se passer l'un de l'autres, même s'ils gardent leur étrange relation pour eux seuls, murmurant et soupirant de leurs mots doux entre eux. Madame la Franchise n'est plus là, soit, il ne dira rien de la soirée. A quoi bon mentir, si ce n'est pas pour taquiner et finalement permettre à Madame la Franchise de tout révéler dans un léger sourire tendre, souple ? Dans sa belle robe d’apparat, Madame la Popularité arrive bras-dessus bras-dessous avec Monsieur le Style et Monsieur le Silence. Ce dernier ne disait jamais rien, et semblait éviter au possible Monsieur le Rire, qu'il trouvait fort bruyant et déplaisant, agité d'une vie qui lui en faisait tourner la tête et ce dans un sens négatif. Pourtant, Monsieur le Silence était bien connu, malgré son avarice en paroles, étant souvent présent aux divers bals organisés. Madame la Tristesse, parfois, depuis sa place ni près ni éloignée, disait quelques mots, puis se mettait à pleurer et bredouillait des excuses. Madame la Pitié ne quittait alors plus ses côtés et essayait au possible de la consoler avec l'aide de Monsieur le Réconfort et Madame la compassion, qui agitait les bras avec hâte comme si elle jouait une pièce. Il manquait encore tant de monde, la fête était loin de battre à son plein. Pourtant, tant de monde était déjà là... Certains disparaissaient, d'autres menaient de drôles de danses et attiraient les regards envieux, certains ne s'étaient même pas présenter, comme à leurs habitudes. Aurélien, dans tout cela, restait pourtant celui qui gouvernait de haut la plupart des bals, ne laissant aucune personne, aucun invité, troubler le doux et calme rythme habituel des jours.

Pseudo : On m'appelle Cat, en général.
Âge : 15 piges. J'en aurais 16 le 16 juin.
Expérience RP : 5 ans ?
Peluche ou Jouet : Peluche !